Grostenquin

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Grostenquin
Linstroff
Grostenquin
Église Saint-Jean-Baptiste.
Blason de Grostenquin Linstroff
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Avold Synergie
Maire
Mandat
Patrick Seichepine
2020-2026
Code postal 57660
Code commune 57262
Démographie
Gentilé Grostenquinois
Population
municipale
635 hab. (2021 en augmentation de 5,13 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 50″ nord, 6° 44′ 23″ est
Altitude Min. 226 m
Max. 306 m
Superficie 21,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Sarralbe
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Grostenquin
Linstroff
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Grostenquin
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Grostenquin
Linstroff

Grostenquin[Note 1] (prononcé [ɡʁotɑ̃kɛ̃]) est une commune française située dans le département de la Moselle et le bassin de vie de la Moselle-Est, en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Au croisement des routes de Sarreguemines à Château-Salins et de Sarralbe à Faulquemont ; à 8,700 km de la gare de Morhange ; à 32,080 km au sud-ouest de Forbach.

Accès[modifier | modifier le code]

Écarts et lieux-dits[modifier | modifier le code]

  • Béning (ferme)
  • Bertring
  • Hingsange
  • Jägerbronn (alias Fontaine de la Chasse, ferme fondée en 1818 par le comte d'Helmstadt, à l'emplacement d'une maison de garde[1])
  • Linstroff
  • Erlenhoff
  • Tensch

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau du Bischwald, le ruisseau la Nied de Bischwald, le ruisseau le Lenzbronn, le ruisseau Beimattgraben, le ruisseau de l'Eschweihergraben, le ruisseau de l'Étang de Sauerloch et le ruisseau Grenzgraben[Carte 1].

Le ruisseau du Bischwald, d'une longueur totale de 13 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Nied allemande à Teting-sur-Nied, après avoir traversé huit communes[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Grostenquin.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau du Bischwald, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 911 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rodalbe », sur la commune de Rodalbe à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 737,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,1 °C, atteinte le [Note 2],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Grostenquin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,1 %), prairies (28,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,7 %), zones urbanisées (2,8 %), eaux continentales[Note 4] (2,4 %), forêts (0,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Grostenquin :
    • Étymologie : Il semble désormais admis que ce toponyme dérive d'un nom d'homme gallo-romain Tannius et du latin villa changé en -acus, ce qui signifierait « domaine de Tannius »[16]. Quoi qu'il en soit, la plus ancienne mention manuscrite de Grostenquin se trouve dans une charte de l'évêque Enguerrand de Metz[17],[18] par laquelle il donne en 787 quelques biens situés à « Tannae villa » à l'abbaye Saint Nabor de Saint-Avold[pas clair].
    • Anciennes mentions : Tannæ-Villa (787), Tenkesacha (Xe siècle), Tanney (1121), Tanner (1137), Tannecha (1179), Tenchen (1255), Tannichen (1461), Tanchen (1469), Gros Tenchen (1573)[19], Tanchen (1595), Thannigen (1645), Gros-Tennequin (1688), Grostenchen ou Grosse-Tenquen (XVIIe siècle), Tennequin-la-Grande et Tennequin-la-Grosse (1756)[1], Tenquin-Gros (1801)[20], Großtänchen (1871-1918).
    • En allemand : Gross-Taenchen[1]. En francique lorrain : Grosstänsche et Tensching[21].
    • Surnom sur les habitants : Finschterstopper (Fensterstopfer) = les bourreleurs de fenêtres[22].
  • Béning : Beininger-Hoff et Benning (1682)[1].
  • Bertring : Berteringa et Berteringe (XIIe siècle), Bertrenges (1472), Bertringen (1664-1665), Bertingue (1756)[1].
  • Hingsange : Hinquezenge (1364), Hingesengen (1376), Hungesingen (1447), Hünsingen (1547), Hinguezange et Hinquesange (1756), Hingsange (carte de l'état-major). En allemand : Hinsingen[1].
  • Linstroff : Lengestroff (1472), Lenistroff (1682), Leinstroff (carte de l'état-major)[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

De l'Antiquité à la Révolution[modifier | modifier le code]

Guerre de 1870-1871[modifier | modifier le code]

Les Français reculent vers Metz après leur défaite à Forbach.

Le , alors qu'ils parcourent les 32 km séparant Grostenquin de Lemud, a lieu un combat appelé l'affaire de Grostenquin.

À l'issue de la guerre franco-allemande de 1870, Grostenquin est annexée à l'Empire allemand en vertu du traité de Francfort. La commune prend le nom de « Grosstänchen » et est rattachée au district de Lorraine, l'un des trois districts administratifs de l'Alsace-Lorraine.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Après deux générations de paix et de prospérité, la germanisation des esprits est telle que les Mosellans se battent naturellement pour l'Empire allemand lorsque la guerre éclate en 1914. Beaucoup tomberont sous l’uniforme allemand, sur le Front de l'Est, mais aussi à l'Ouest, en particulier en France et dans les Flandres. Sujets loyaux de l'Empereur, les Mosellans accueillent cependant avec joie la fin des hostilités et la paix retrouvée. Conformément à l’article 27 du traité de Versailles, la commune redevient française en 1919 et est rattachée au nouveau département de la Moselle qui adopte les limites administratives du district de Lorraine.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Après un bombardement le (5 victimes, 62 maisons détruites), la commune est occupée deux jours plus tard par les troupes allemandes et annexée de facto au troisième Reich qui l’incorpore au Gau Westmark. La Seconde Guerre mondiale et le drame de l'Annexion marqueront longtemps les esprits. Après un intense bombardement, les Américains entrent dans la commune le . Ils font évacuer les habitants à Morhange, du au . Grostenquin devient une zone de combats avant la libération définitive.

Grostenquin sera titulaire de la Croix de guerre 1939-1945. Mme Marie Bour, résistante durant la Seconde Guerre mondiale, sera aussi honorée.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 mars 1989 Achille Bier    
mars 1989 mars 2008 Marc Rousselle    
mars 2008 en cours Patrick Seichepine    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 635 habitants[Note 5], en augmentation de 5,13 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
2622903591 270897850831805732
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
698567540573586538509483416
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
422378367259422689543546518
1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 - -
596569543539580631635--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • 1844 : deux écoles de 25 garçons et 30 filles.
  • 1956 : deux écoles avec 66 élèves.
  • 2010 : une école maternelle avec 2 classes ; une école primaire avec 3 classes.

Cultes[modifier | modifier le code]

Grostenquin est de tout temps paroisse catholique de l'archiprêtré de Morhange ; annexes : Bertring, Linstroff et jusqu'en 1804, Erstroff.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Passage d'une voie romaine.
  • Traces du château de Hingsange, mentionné en 1266, remanié au début du XVIIIe siècle pour le rendre plus habitable démoli à la Révolution. Avec deux tours, l'une appelée tour Sainte-Barbe, abritant la chapelle castrale, l'autre la prison. À son emplacement ne subsiste plus que l'importante ferme
  • Ancienne base aérienne de l'OTAN occupée par les Canadiens de 1952 à 1964.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Chapelle Saint-blaise au Klausenberg.
Chapelle Saint-Donat de Linstroff.
  • L'église néo-gothique dédiée à saint Jean-Baptiste (), fut reconstruite en 1867. Lors de la démolition de l'ancienne église en 1863, on y a trouvé le tombeau d'un colonel suédois.
  • Une chapelle de 1960 dédiée à saint Blaise () située à Bertring lieu-dit : Klausenberg, pèlerinage.
  • Une chapelle XVIIIe siècle dédiée à saint Donat située à Linstroff rénovée depuis peu et inaugure en .
  • Une réplique de la grotte de Lourdes située à Bertring lieu-dit : Klausenberg.
  • Grande fête le à l'occasion de la saint Blaise avec bénédiction des gorges et des petits pains.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le joueur canadien de hockey sur glace Paul MacLean est né à la base aérienne, de même que Jean-Claude Lavigne, père de la chanteuse Avril Lavigne.

Cellier Camille ,ancien artilleur durant la seconde guerre mondiale,qui mouru sous la torture Nazi en défendans Grostenquin.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Grostenquin Blason
Parti : au 1er de gueules au dextrochère de carnation, vêtu d'azur, mouvant d'une nuée d'argent, tenant une épée du même, garnie d'or, accostée en chef de deux cailloux du même, au 2e d'argent au lion de sable, armé, lampassé et couronné d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. anciennement orthographié Gros-Tenquin
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Grostenquin » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
  2. Sandre, « le ruisseau du Bischwald »
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Grostenquin et Rodalbe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rodalbe », sur la commune de Rodalbe - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Rodalbe », sur la commune de Rodalbe - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. a et b Bertrand HOERNER : Grostenquin une agglomération gallo-romaine, foyer de l'essor rural du Bischwald. In : Les Agglomérations secondaires de la Lorraine Romaine p.165-173. Annales Littéraires de l’Université de Franche-Comté n° 647, 1997 (ISBN 2 251 60647 5).
  17. Dom CALMET : Histoire de Lorraine, preuves, tome I, col. 293, première édition
  18. J. G. STOFFEL : De l'ancienneté du château de Morimont (Mörsperg), en Alsace. Le Bibliographe alsacien : gazette littéraire, historique, artistique, 1869 (4) p. 204-207, éditions Berger-Levrault Strasbourg, (ISSN 2015-2027).
  19. Toponymie générale de la France Tome 2. Formations non-romanes - Page 872
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Geoplatt
  22. a et b Passé-Présent : La Moselle dévoilée N°3 (Septembre-Octobre 2011)
  23. Hermann Peter BARTH : Die Herrschaft Hingsingen. Zeitschrift für die Geschichte der Saargegend. XII Saarbrücken 1962, p. 134-148
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.